Notes de lecture

Publié le par La Grande Royale

1- Ouvrage : INFORMATION AND COMMUNICATION TECHNOLOGIES IN EDUCATION (A curriculum for schools and programme of teacher development), UNESCO, Division of higher education, 2002.

 

 

Introduction p.8

Livre de l’Unesco p.17( models of stages of teaching and learning with ICT, à cela doivent s’ajouter des enquêtes pour avoir les pourcentages d’effectivité ou le niveau où l’on se situe au Cameroun par rapport à ce modèle, et ceci étape apr étape.

L’UNESCO recense trois approches dans  la mise en œuvre des tic dans l’éducation : l’approche application, l’approche fusion et l’approche transformation. Ces trois approches sont celles-là même qui nous concernent dans notre travail.

 P.20, Dans l’approche application des Tic, les enseignants utilisent les tic  dans les autres domaines pour atteindre leurs objectifs professionnels, et améliorer leurs enseignements à l’aide des Tic. Les enseignants augmentent leur confiance dans les outils tic qui peuvent être appliqués dans leurs domaines. Les opportunités d’application de ces outils sont uniquement limitées  par les difficultés d’accès et le manque de ressources en tic ; c’est pourquoi ces outils ne sont pas pleinement intégrés dans toutes les leçons et pour tous les élèves. Citation p.18. et début p.19.

La fusion des tic pour le développement des tic, les tic s’impliquent dans tous les domaines de la vie professionnelle des enseignants pour améliorer l’apprentissage des élèves et la gestion des processus d’enseignement.   Cette seconde approche  est une aide pour les enseignants actifs et créatifs qui sont capables de stimuler et de gérer l’apprentissage des élèves. Ils gèrent non seulement l’apprentissage de leurs élèves, mais aussi leur propre apprentissage. Dans cette approche, il devient naturel et facile de collaborer avec les enseignants des autres domaines, pour la résolution des problèmes communs, et partager les expériences communes dans l’enseignement. (Nous en tant qu’enseignante des tic, nous allons donc collaborer avec les enseignants des autres disciplines, afin de les aider dans l’intégration des tic dans leurs domaines respectifs, ce qui va nous permettre de tendre vers la troisième approche qui est l’approche transformative.)

Dans l’approche transformative, les enseignants et les dirigeants des établissements considèrent désormais les TIC comme un outil naturel et comme faisant partie intégrante de leur quotidien scolaire. Ce qui fait qu’ils commencent à avoir une nouvelle vision des objectifs et des processus d’enseignement et d’apprentissage. L’accent est désormais mis sur l’apprentissage, on passe ainsi de teacher-centred to learning- centred. Ces trois approches sont aussi détaillées à la page 22 et 23. Voir aussi le tableau de la page 28 et 29 ( NB : voir aussi le cours d’enjoyment 414 pour les différents modèles de l’enseignement.)

Page 85, on a quelques exemples d’applications des tic dans l’apprentissage des langues.

 collaboration p. 38

 

2- Champ d’intervention : Didactique et pédagogie Théories d’apprentissage

 

 

L’intégration des Tic en lycée professionnel, article de la Revue  AC-tice, numéro 27, de Juin 2002

Dans cet article,  professeur d’anglais souligne un problème pertinent : la réfraction des enseignants, particulièrement ceux des langues, face aux nouveaux outils ; réfraction due au manque de formation de ceux-ci.

 Il souligne en outre que malgré le fait que ces outils ont le vent en poupe, leur intégration ne va pas toujours de soi, même dans les pays dits développés. En effet, même si le traitement de texte et la recherche sur Internet  semble  faire de grands pas dans l’enseignement, il reste cependant clair que l’utilisation de l’image, du son et les présentations de diaporamas sont encore mal maîtrisés dans l’ensemble. Par ailleurs, il ne faut surtout pas oublier que l’enseignant est libre, et seul devant sa classe, devant le choix des outils qu’il va utiliser et que, même s’il maîtrise aussi bien l’outil informatique que le magnétophone, le magnétoscope ou le rétroprojecteur, l’abondance même des outils mis à sa disposition complique le choix. D’autant que le choix de ces outils est intimement lié à la démarche pédagogique. Il relève enfin d’autres problèmes liés à la disponibilité des infrastructures, et à la répartition et à l’utilisation équitables des ressources matérielles.

Cependant il reconnaît que lorsque toutes les conditions sont réunies, le résultant est  évident ; il l’illustre d’ailleurs avec des témoignages d’autres enseignants. On perçoit dont quelques avantages dans ces propos :

 

« L es élèves sont concentrés, ils essayent et réessayent, ils trouvent beaucoup mieux et plus vite que d’habitude.
Les élèves ont une attitude plus positive vis à vis des travaux qui leur sont demandés pour trois raisons principales : d’abord ils peuvent être individualistes, débarrassés à la fois du regard des autres et des contraintes de la relation avec l’enseignant (ils peuvent être de mauvaise humeur avec la machine, la faire attendre 30 secondes...) ; ensuite ils ont (si le travail a été conçu de cette façon) la possibilité de tester plusieurs réponses, de recommencer l’exercice jusqu’à obtenir un résultat qui les satisfasse (il n’y a ainsi aucun échec total) ; enfin ils sont autonomes, ils peuvent (si l’exercice a été conçu avec suffisamment de richesse) apprendre à leur rythme, soit retravailler la même phrase jusqu’à un résultat parfait, soit commencer par la fin, soit faire deux exercices supplémentaires non imposés, bref maîtriser leur apprentissage. »

 


 

 

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